La nouvelle religion « verte »

Au départ Nicolas Sarkozy qui n’était pas encore chef de l’Etat s’est interéssé à l’écologie non par conviction, mais pour ne pas laisser le monopole de ce sujet à la gauche et en particulier à Ségolène Royale.

Le premier à le convaincre a été Allain Bougrain-Dubourg, le fondateur de la ligue pour la protection des oiseaux et qui a réussi à persuader N Sarkozy que l’écologie ne devait pas être le monopole de la gauche. Lorsqu’il a été candidat à l’élection présidentielle, il s’est senti obligé de signer le pacte de Nicolas Hulot que Ségolène Royale soutenait. Puis il sera présenté à Yann Arthus Bertrand qui achévera de le convaincre. Cela démontre bien que au départ Nicolas Sarkozy s’est laissé guidé par des gens qui n’étaient en rien des scientifiques. Anti chasseurs, photographes et cinéastes lui ont montré les conséquences du réchauffement climatique, mais surtout en mettant l’accent sur le fait que la cause serait d’origine humaine. Par la suite ce sont deux politiques Tony Blair et Al gore qui faisait alors la promotion de son film qui l’ont convaincu de s’engager dans la stratégie écologique.

Nicolas Hulot dit du Président que dans ses prises de position « il y a 50% de conviction et 50% de stratégie politique« . Et avant le sommet de Copenhaque il disait « C’est lui qui a porté le paquet climat en Europe, c’est lui qui va monter au créneau à Copenhague », De toute façon, il en aura fait plus que Royal « , confie-t-il à des proches. « Et il a déjà été beaucoup plus loin que Chirac ».

En fait et contrairement à ce que l’on veut faire croire, personne ne nie que nous vivons une période de réchauffement climatique. Ce que nous, les climatosceptiques nous disons c’est que ce réchauffement n’est pas forcément d’origine anthropique. Alors que l’on ne nous fasse pas dire ce que nous ne disons pas.

On ne le dit pratiquement jamais dans les médias francophones: il n’y a aucun consensus parmi les spécialistes en matière de climat. Fin 2008, 650 scientifiques de haut niveau, ont signé une pétition pour dénoncer la version officielle du réchauffement climatique. Ils étaient 400 en 2007.

Au fait, c’est quoi un climatosceptique. Le mensuel « l’expansion » en donne une définition que j’aime bien. Ce mot désigne à la vindicte ceux qui ne se rangent pas au catastrophisme de rigueur en matière de réchauffement climatique.

Alors pourquoi faut-ils que certains refusent de céder à l’enthousiasme général. Entre autre parce qu’ils hostiles à tout dogme venu dans haut, parce qu’ils supportent mal la nouvelle « religion verte« , ses apôtres, son catéchisme et ses tables de la loi. Beaucoup sont attachés à l’idée que les citoyens ont le droit de décider de ce qui les concerne, ils commencent aussi à juger insupportable le conformisme écologique, le déballage des bons sentiments et les empiétements sur la liberté individuelle auxquels donne lieu la nouvelle pensée dominante.

Il ne s’agit pas pour moi d’imposer quoique ce soit et surtout pas une forme de pensée unique que je combats. Simplement il s’agit de porter à  la connaissance des lecteurs de ce blog des idées que ne diffusent pas les médias traditionnels et qui fait que nos positions sont méconnues.

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